[AAA] Recomposition de l’offre de services et émergence de nouvelles formes organisationnelles dans le secteur de la santé : Quelles conceptions des organisations pour quel management ?

Revue Communication & Management
Éditions ESKA
ISSN 1779-3572 (Papier) / 2271-734X (en ligne)

Dirigé par :
Bertrand Parent, École des Hautes Études en Santé Publique, Rennes, Arènes
Sidonie Gallot, Université Paul Valéry Montpellier III, LERASS

 

Cet appel pour la revue Communication & Management propose de contribuer à une réflexion
approfondie sur les nouvelles modalités de management et d’organisation des services de santé qui
émergent aujourd’hui dans un contexte de recomposition permanente. Pour ce faire, ce numéro
portera sur les dynamiques de transformation des formes d’organisation et de management. Il appelle
des articles invitant à discuter et à comprendre ces dynamiques par le biais de propositions
renouvelant les conceptualisations existantes et permettant de penser l’émergence de nouvelles
formes d’organisations susceptibles de soutenir véritablement l’intégration du système de santé.
1. La santé : un secteur en perpétuelle recomposition
Le secteur de la santé est aux prises de multiples évolutions. Il est connu et fondamental que sa
structuration s’effectue en fonction de sa capacité à répondre aux besoins de santé pour tous, partout et à tout moment. Dès lors, il en résulte que les modalités de mise en oeuvre de l’offre de services de soin et de santé n’ont cessé de suivre cet objectif selon des réorganisations permanentes. Dans la conjoncture contemporaine, l’évolution de la société et de la demande de soin, le développement des pathologies chroniques, la transition démographique, mais aussi le renouvellement des technologiesde santé ont conduit à recomposer l’offre de services – et ce, de manière encore plus manifeste ces 20 dernières années (Rapport au parlement sur les recompositions hospitalières 2017 ; Chauvin,
2021). Ces évolutions se sont aussi effectuées sous l’impulsion de réformes et de politiques publiques.
En effet, qu’il s’agisse de répondre à des enjeux économiques et gestionnaires (Ordonnances de 1996, Loi de Santé Publique 2004 et Plan hôpital 2007); à des enjeux de territorialisation et de régulation de l’action publique (Loi HPST 2009) ; à des enjeux de modernisation, d’évaluation et d’amélioration de la qualité soins (Duhamel et Minvielle, 2016 ; Piperini M-C, 2006) ou encore de coopérations territoriales (Loi de modernisation de la santé 2016) ; de prévention et de participation à la démocratie sanitaire (Loi Ma Santé 2022) etc. l’ensemble de ces réformes, développées à un rythme soutenu, contribuent aux transformations profondes des formes d’organisation et de management des services de santé en France. Dans un même temps, l’avènement du numérique et le déploiement de dispositifs et de technologies informationnels et communicationnels (Cordelier et Galibert, 2021) – et aujourd’hui l’intelligence artificielle, à toutes les échelles et à tous les niveaux du système participent, permettent et renforcent pleinement les évolutions observées.

2. L’émergence des organisations intermédiaires comme marqueur des évolutions en
cours
Dans ce contexte, on peut noter dans un double mouvement l’émergence, d’une part de nouvelles
forme d’organisation de production de soin, de prise en charge et d’accompagnement (Hospitalisation à domicile, MSP, équipes de soins primaires, Ephad hors les murs, équipes mobiles, pôle interhospitaliers, exercices mixtes, plateau-techniques mobiles..) et, d’autre part, d’organisations intermédiaires1 (réseaux de santé, Réseaux Ville-hôpital, CLIC, MAIA, CLS, Paerpa, PTA, DAC, CPTS, centres de ressources territoriaux..). Ces organisations intermédiaires soutiennent le développement de dynamiques territoriales favorables à la santé et possèdent des caractéristiques spécifiques visant à favoriser la recomposition de l’offre de santé en réponse aux évolutions de la demande de soins, d’exigence de pertinence et de qualité des soins, de qualité de vie au travail des professionnels de santé et d’optimisation d’usage des ressources engagées etc. Dès lors, elles apparaissent comme des
collectifs sociotechniques ouverts possédant un cadre stratégique fort (les orientations du PRS par
exemple) et se caractérisent comme un milieu où se multiplient les interactions/traductions entre
membres. On y note l’importance des activités de production de connaissances/réflexivité ou encore d’apprentissage collectif (apprendre à apprendre ensemble). Elles incarnent potentiellement le lieu de développement permanent d’un ordre négocié.
Ces nouvelles formes d’organisation (Jacot, 1994) apparaissent ainsi comme la condition du
dépassement de la tension entre des formes de régulation de contrôle et des formes de régulation
autonome dans la construction conjointe d’un cadre normatif servant d’appui conventionnel à l’action.
Elles peuvent ainsi être considérées comme milieu où s’effectuent, se formulent et se dépassent la
tension entre les pratiques héritées et les déclinaisons d’instructions administratives nationales ou
régionales par l’élaboration de coopérations situées, de nouveaux services qui conviennent…
3. où se multiplient les artefacts info-communicationnels
Plus fondamentalement, nous observons que le mouvement actuel de recomposition (Le Moënne,
1997, 2021) des organisations du secteur de la santé s’effectue en relation étroite avec l’intensification
du processus de production et de diffusion d’artefacts communicationnels : référentiels de bonnes
pratiques, normes, procédures… (Parent, 2021 ; Durampart, 2021). Nous pouvons les considérer
comme des référentiels d’action qui définissent non seulement le contenu du travail, mais aussi et
surtout, les modalités de la coordination et les conditions dans lesquelles des modes d’organisation
peuvent être considérés comme des formes acceptables. L’action collective est alors rendue possible essentiellement par la production, distribution et l’appropriation de dispositifs d’écriture et d’écrits professionnels servant d’armature langagière et informationnelle à l’action collective. La construction
des référentiels d’action et d’évaluation devient centrale pour piloter l’action et manager les situations
vécues (Le Moënne et Parrini Alemanno, 2010). Cette tendance est renforcée par les exigences de
traçabilité et de sécurité des activités (Le Moënne, 2013 ; Parent, 2021). On peut alors entrevoir une
nouvelle conception de l’organisation que l’on peut qualifier de « système artéfactuel ».
1 Nous entendons par organisations intermédiaires le support organisationnel des dynamiques de régulation conjointe (Raynaud,
2004) qui s’effectuent à l’interface entre les activités qui relèvent directement des pratiques de soins effectifs et des activités qui
relèvent des enjeux-mêmes d’organisation et de réorganisation nécessaires à la réalisation des activités de soin. Elles s’établissent
des échelles et des niveaux pluriels du système de santé, en fonction des enjeux, des parties prenantes, des temporalités. Ces
organisations intermédiaires se caractérisent par leur rôle dans la fonction d’apprentissage collectif et de régulation de la
production. Elles assurent une fonction d’intermédiation et constituent des espaces distribués et « despatialisés » de réflexion,
d’apprentissage par le partage de pratiques, d’expériences et de savoirs permettant si ce n’est de (re)penser, au moins de
questionner et de partager autour de l’activité de production. Elles portent les dynamiques favorables à la santé, qui peuvent
momentanément se cristalliser dans des configurations organisationnelles métastables d’activité de soin et de services en santé.

Mais la nouveauté la plus radicale dans ces évolutions réside dans le fait qu’il s’agit de « dynamiques » et de processus. La notion de dynamique fait rupture avec celle de modèle qui était centrale dans les
logiques antérieures de mise au travail. Ces logiques reposaient sur la prescription aux acteurs d’actes
à réaliser (la régulation de contrôle) et de procédures à adopter. L’introduction de la notion de
dynamique constitue dans cette perspective la rupture la plus sensible puisqu’elle manifeste le
passage d’une « rationalité substantive » imposée à une rationalité procédurale négociée (Simon,
1991). Ainsi, c’est la conception même de l’organisation qui évolue. D’état figé dans des structures
extérieures à ceux qui assurent les activités, elle devient le processus d’élaboration des procédures et
des interprétations légitimes de leur mise en oeuvre pour l’action collective. La dynamique est
l’organisation (ou plutôt le processus d’organisation), elle se confond avec le processus de construction
négociée du cadre normatif par lequel s’effectue l’action collective (Parent, 2021).
Ainsi, ce processus d’émergence des organisations intermédiaires illustre un remplacement progressif
des formes héritées ou institutionnelles de coordination de l’action par des formes « artificielles »,
conçues et créées en fonction d’objectifs spécifiques. Il appelle à sortir des conceptions « dualistes » ou « représentationnelles » des organisations.
4. Qui invite à questionner la conception spatiale des organisations
Dans cette perspective, il devient possible de ne plus raisonner comme si les organisations étaient
des entités objectives ayant une existence seulement spatiale et physique, comme si on pouvait les
confondre avec leurs ressources matérielles, humaines, ou financières, comme si on pouvait les
confondre avec les unités de production, les services, les sites où se réalisent les activités. Il peut alors sembler opportun de concevoir les organisations non plus seulement dans leur dimension spatiale mais plutôt et surtout comme des dispositifs info-communicationnels structurant l’action collective. Le processus d’organisation s’opérant sur la base d’artefacts info-communicationnels et dans un
mouvement perpétuel de recomposition, on passe ainsi à des logiques de pilotage par les normes et
par les référentiels d’action, c’est-à-dire par la communication et l’information (Parent, 2021 ; Gallot 2021). Dans cette acception, résolument située dans le champ de la communication organisationnelle, ce processus d’organisation participe alors, on le sait, d’un processus de destitution des formes
instituées (Le Moënne, 2012) jusque-là et permet l’émergence de nouvelles formes organisationnelles distribuées, non plus seulement insérées dans l’unité de lieu et de temps.
Une telle approche appelle à émettre si ce n’est l’idée, au moins l’hypothèse que des freins conceptuels
et des obstacles épistémologiques entravent véritablement l’intégration du système de santé, par
l’incapacité à penser les services de santé autrement que dans une conception spatialisée de
l’organisation et la coordination des activités. Ainsi, c’est sans doute en interrogeant les anthropologies
de l’espace et du temps que d’autres compréhensions de la tension entre processus de dislocation et
de recomposition organisationnelle seront possibles, permettant d’envisager leur dépassement et
l’émergence de nouvelles formes organisationnelles distribuées, et plus loin, l’intégration du système
de santé et sa performance autrement que par la concentration des activités dans l’unité de lieu de
sites. (Parent, 2022, 2023).
5. La crise du système de santé : une crise des conceptions ?
Force est de reconnaitre que l’évolution permanente des services de santé censée répondre aux
enjeux sanitaires, sociaux contemporains et les réformes successives qui ont stimulé et accompagné
les changements, n’ont pas réussi à sortir le secteur de la crise sans fin qu’il connait depuis de
nombreuses années (Mordelet, 2006). Les recompositions observées apparaissent moins comme le
marqueur d’une adaptation permanente et d’un ajustement réussi aux conditions qui émergent que
comme le symptôme d’une difficulté à concevoir et à piloter des activités distribuées et néanmoins
intégrées. Car, outre de conforter de manière globale une tendance relevant du NMP et d’une logique rationalisation et d’industrialisation de la santé, il s’agit de reconnaître – et la crise Covid l’a particulièrement mis en lumière – que dans les faits et malgré des investissements massifs et les
recompositions permanentes, le partage des données de santé, des expériences et des savoirs, les
coopérations, la régulation territoriale des activités ou encore la participation des usagers, tout ce qui est censé permettre l’intégration du système, ne s’effectue pas véritablement. De ce fait, le système dans son ensemble ne cesse de connaître une crise profonde et persistante (Gallot et Le Moënne, 2015), voire une dégradation.
Dès lors, ce projet de numéro repose sur le postulat fort selon lequel cette crise généralisée et durable que connaissent les services de santé s’explique moins par des contingences multiples extérieures
que par les modèles de penser et concevoir, et donc de manager les formes organisationnelles des
services de santé. Cela revient à discuter l’idée selon laquelle les conceptualisations actuelles sur
lesquelles s’appuient ceux qui pensent, conçoivent et managent ces formes et ces stratégies ne leur
permettent, au fond, ni d’appréhender, ni de gérer, ni d’apporter de solutions convaincantes durables
aux problèmes rencontrés, voire même que ces conceptualisations participent directement du
renforcement de la crise.
Ce numéro appelle des articles proposant de discuter cette hypothèse, par exemple à partir des
questionnements – non exhaustifs – suivants :
Quels sont les besoins en ressources conceptuelles que peuvent fournir nos disciplines pour penser
l’émergence et le management de nouveaux services en santé ?
Quelles ressources théoriques, méthodologiques pouvons-nous proposer pour analyser ces
recompositions en cours ?
Quelles sont les problématisations et questionnements à identifier pour proposer et expérimenter de
nouvelles manières de voir et de faire, qu’ils reposent sur des conceptualisations complexes autant
gestionnaires, info-communicationnelles, politiques, économiques, stratégiques et managériales, que
sociologiques voire psychologiques ?
Quels sont les apports de ces conceptualisations pour penser l’émergence de nouvelles formes,
l’innovation et le pilotage de nouveaux services en santé ?
Les organisations intermédiaires sont-elles véritablement le recours pour une régulation conjointe et
la performance des services de santé ?
A l’instar de notre proposition sur un renouvellement de l’anthropologie spatiale et temporelle, quelles
autres limites ou freins conceptuels participent de difficultés rencontrées ?
Comment la communication et l’information participent-elles des organisations de santé, de leur
transformation et quels rôles jouent ou peuvent jouer les artefacts communicationnels dans ces
dynamiques ?
Etc.

Bibliographie indicative
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[en ligne] https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_au_parlement_sur_les_recompositions_de_l_offre_hospita
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Rapport CHAUVIN, F., (2021), Dessiner la santé publique de demain, rapport, consultable sur :
https://solidarites- sante.gouv.fr/ministere/documentation-et-publicationsofficielles/
rapports/sante/article/dessiner-la-sante- publique-de-demain

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